La situation des droits de l’homme au Cameroun reste inquiétante. Entre verrouillage de l’espace civique et répression des journalistes, la société civile s’interroge.
Au cours de la 57ème session du conseil des droits de l’homme tenue du 09 septembre au11 octobre 2024 à Genève, l’ONG Un Monde Avenir entant que partie prenante à cette assise, a rendu publique une déclaration sur : la répression et le verrouillage de l’espace civique au Cameroun. Dans un document de trois pages, elle relève quelques cas flagrant de violation des droits de l’homme en lien avec la liberté d’opinion et d’expression. Des réunions publiques interdites, des journalistes muselés, et des émissions sanctionnées sont quelques faits auxquels ont été confrontés certains hommes de média. Face à cette violation constante des droits de l’homme et des libertés publiques, l’organisation interpelle une fois de plus le gouvernement camerounais et la communauté internationale sur ces faits qui sont en marge des dispositions nationales et internationales dument ratifiés par le Cameroun.
A lire ci-dessous l’intégralité de la communication de l’ONG Un Monde Avenir à Genève: